Blooming

L’histoire de mon premier roman – 2

Vous voyez, je ne vous ai pas laissé trop longtemps avec ce suspense intenable (en même temps, vous savez que l’histoire finit bien !).

Previsously dans Marjo veut publier son roman : la maison d’édition qui m’avait fait une proposition la retire quelques semaines plus tard. Là où j’avais vendu la peau de l’ours avant de l’avoir tué, c’est que j’avais envoyé mon manuscrit à d’autres maisons et que, dans ma grande honnêteté un peu stupide, je leur avais envoyé un message qui disait en gros : « j’ai trouvé un éditeur, si le roman vous intéresse, faites-moi signe rapidement ». Évidemment, personne n’avait eu le temps de lire mon manuscrit et tout le monde m’a répondu : « bravo et bonne route ». Sauf que, comme vous le savez, le contrat n’est jamais arrivé. J’ai avalé ma fierté et j’ai relancé, sans succès évidemment.

27 Juin 2019 – Je pratique ma première séance de yoga kundalini et je sais instantanément que cette pratique va compter dans ma vie.

Juillet 2019 – Je décide de mettre le roman de côté. Je suis incapable de le relire pour l’améliorer, j’ai besoin de faire le deuil de cette idée de publication, même si elle n’était pas idéale.

Septembre 2019 – Je reçois un mail d’une éditrice (que l’on appellera Béatrice) intéressée par mon écriture (merci à la lectrice qui lui a conseillé de venir me lire !). Je lui envoie le manuscrit, elle adore. Nous échangeons par téléphone, c’est une belle maison qui prend soin de ses auteurs. Je suis enchantée. Béatrice veut me publier, celui-ci et mes prochains romans. Waouh ! Échaudée par ma première déconvenue, j’attends avant de me réjouir. Bingo, quelques semaines après, Béatrice m’envoie un message pour me dire que malheureusement, mon roman ne peut pas rentrer dans leurs prévisions éditoriales pour diverses raisons. Elle termine en me donnant la liste de plusieurs maisons d’édition qui seraient parfaites pour mon texte. Et elle ajoute : « J’espère de tout cœur que vous trouverez le bon éditeur pour votre roman : il mérite de rencontrer son public et d’être lu par le plus grand nombre. Surtout, ne doutez pas de sa qualité et de votre talent pour écrire des histoires émouvantes et profondément humaines ». En écrivant cette phrase, elle m’offre un cadeau merveilleux : elle me reconnait en tant que romancière. Je crois que c’est à la même période que KA me parle de JK Rowling qui a essuyé 12 refus avant d’être publiée. Mon fils, meilleur psy du monde.

Octobre 2019 – En coaching, Olivia évoque l’auto-édition. Pour moi, c’est non. J’ai vu l’énergie que cela demande, j’ai vu mes amis romanciers porter leurs oeuvres magnifiques à bout de bras. Je suis admirative de ceux qui le font mais n’ai pas cette énergie et je ne sais pas me vendre. Je laisse le roman reposer dans un coin et je continue à défricher avec Olivia et avec le kundalini, à observer mes limitations, à observer les croyances qui me freinent, à ne plus me laisser maltraiter professionnellement. J’avance à pas de géant, je suis en pleine transformation (aka ma phase Pokémon) mais j’ai l’horrible impression de faire du sur place.

Décembre 2019 – Je publie ce billet sur le blog. Une nouvelle fois, j’expose ma vulnérabilité, je partage ce qui m’agite et comme par magie, les choses se mettent à vibrer. Certaines personnes lisent le roman et m’encouragent, d’autres mes donnent des pistes. Cela me motive, je le renvoie dans différents maisons, notamment celles proposées judicieusement par Béatrice. Les choses bougent très vite : une éditrice de l’une des ces maisons a lu mon roman et l’a beaucoup aimé, elle me répond qu’elle me contacte après les vacances pour en parler.

Janvier 2020 – Le 16, à 12h45 exactement, Alexandrine Duhin des éditions Fayard me laisse un message sur mon répondeur : elle vient de lire mon roman et veut que l’on en parle. Quelques jours après, je pars en formation niveau 1 de kundalini yoga. Je m’y engage sans retenue, je suis prête à plonger aussi profond qu’il le faut. Je me souviens avoir échangé avec certains de mes copains de formation (coucou Florence et Greg) sur le sujet : « je sens que c’est là, à portée de main, il me reste quelques barrières à faire tomber mais je le sens, ça arrive ». À mon retour, j’ai une mission professionnelle à Paris, l’occasion de rencontrer Alexandrine. C’est court mais ses silences concentrés et ses mots sur mon texte me donnent follement envie de travailler avec elle.

Février 2020 – J’échange donc avec ces deux très belles maisons d’édition qui montrent un intérêt certain pour mon roman. Pourtant, de leur avis partagé, il manque un petit quelque chose. Les deux éditrices me demandent un travail de réécriture avant de pouvoir me faire éventuellement une proposition. Je me sens capable de le faire (alors que la simple idée me filait la nausée deux mois avant).

Mars 2020 – Avec l’aide de MMM, je découpe mon manuscrit en petits morceaux et je les mélange. On agite des Post-it, on voit des évidences, des enchainements qui se font naturellement. On fait littéralement du montage, comme en audiovisuel (et là, je suis contente d’avoir un mari monteur !). J’ajoute aussi des chapitres. Je pleure beaucoup durant ces quelques jours parce que je sens que c’est un moment critique.

Vendredi 13 mars 2020 –  Alors que l’on vient de nous annoncer que les enfants n’iront plus à l’école à partir de lundi, j’envoie la version modifiée de Jamais je ne t’oublierai aux deux éditrices. Le lundi suivant Emmanuel Macron nous annonce le confinement total. J’imagine qu’avec de telles annonces, je n’aurais pas de nouvelles positives pour mon roman. Comment prendre des décisions pour le futur durant cette période ? Moi qui étais si pressée, je suis pourtant sereine. Je me dis que si j’avais signé avec la maison d’édition d’Estelle comme prévu l’an passé, mon livre serait sorti durant le confinement et que, vu les conditions, ça aurait sûrement été mon seul et unique roman.

Jeudi 26 mars 2020 – Je reçois un mail de la première maison d’édition avec une très belle proposition commerciale. Je suis heureuse et honorée mais Fayard doit me faire une proposition le lendemain… Je patiente le coeur léger.

Vendredi 27 mars 2020 – Mon téléphone sonne, c’est Alexandrine de chez Fayard. Après quelques minutes, elle se lance et me fait la proposition commerciale. Mon coeur – qui savait depuis longtemps qu’il voulait écrire pour cette maison – fait un salto arrière et contre toutes convenances, je ne demande pas à réfléchir et j’accepte tout de suite. OUI, c’est OUI, un grand OUI qui vient du coeur ! Je crois que je me souviendrai toute ma vie de mes allers-retours pieds nus dans le jardin devant la maison, à profiter du soleil et de cette belle nouvelle. Je cours l’annoncer à Mamily qui jardine et je fête ça le soir sur Zoom avec Mamyvonne, Mamie Meuh et Popope. Clin d’oeil du destin, cela fait tout pile 9 mois que j’ai commencé le yoga.

Malgré la période spéciale du confinement et malgré mes expériences déçues, je ne doute à aucun moment de cette proposition et je l’annonce autour de moi, pour partager ma joie à défaut de pouvoir serrer les gens dans mes bras.

Mai 2020 – Je signe le contrat. J’écris dans mon bullet journal : « L’Histoire retiendra que j’ai signé mon premier contrat de roman le 20/05/20 avec le Bic mâchouillé de Fleur de Sel, KA était au golf, Fleur de Sel dormait, Petite Gavotte faisait du piano en visio et MMM était à Paris ».

Un an plus tard, après un beau travail sur le texte effectué en compagnie d’Alexandrine Duhin et Iris Néron-Bancel, Jamais je ne t’oublierai sort en librairie.

Je ne sais pas si l’on peut  dire qu’il y a une morale à cette histoire. Ce que j’en retiens personnellement, c’est que quand j’écoute la petite voix en moi, celle qui me veut du bien, je ne me trompe pas. Ce que j’ai compris également en arpentant ce chemin, c’est le pourquoi je voulais écrire de la fiction. Je n’écris pas pour me faire de l’argent ou pour être célèbre, je n’écris pas parce je romantise le statut d’écrivain, non, j’écris parce c’est ce qui me donne de la joie. Quand mes doigts courent sur le clavier pour déposer ce que je porte depuis longtemps ou ce qui me traverse à l’instant, j’ai le sentiment profond d’être à ma place. J’écris d’abord pour moi sans me poser la question de qui le lira. Pourtant, j’écris aussi pour partager et pour offrir des émotions, un peu comme quand je prépare mes muffins au chocolat (ceux qui les ont goûtés savent).

Je n’ai aucune idée de ce qui attend Jamais je ne t’oublierai mais quoiqu’il arrive, je vais continuer à écrire des romans parce que c’est ce qui me rend fondamentalement heureuse. Et la vie, c’est quand même fait pour faire ce que l’on aime, non ?

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57 commentaires

  1. Répondre Coraline 4 mai 2021 à 10:26

    Félicitation Marjo, quel chemin incroyable!
    Hâte de te lire.
    Je t’embrasse

  2. Répondre Mademoiselle Farfalle 4 mai 2021 à 10:39

    Je suis en train de le lire (privilège de blogueuse ^^) et… Tu as bien fait de t’accrocher pour le publier 😉

    • Répondre Marjoliemaman 4 mai 2021 à 11:05

      Merci Mélanie, j’ai hâte d’avoir les retours (et peur aussi mais bon, je crois que c’est normal !).

  3. Répondre LAPERRE Marie Annie 4 mai 2021 à 10:49

    Bonjour,

    Je proposerai votre livre pour le prochain achat de romans à la bibliothèque où je suis bénévole.

  4. Répondre Valentina 4 mai 2021 à 11:21

    Pour avoir goûter tes muffins et te lire depuis le début, j’attends avec impatiente le 19 mai!!!
    Bises et bravo Marjo !

  5. Répondre danslapeaudunefille 4 mai 2021 à 11:42

    Hâte de le lire !

  6. Répondre Sophie - du merveilleux dans l'ordinaire 4 mai 2021 à 11:52

    Eh bah voilà, ce billet m’a mis les poils et la larme au coin des paupières !
    Bravo pour ce chemin parcouru, qui est en fait un chemin intérieur autant qu’un chemin éditorial.

    « Ne plus me laisser maltraiter professionnellement ». Tu vois, moi, il aura fallu ma première expérience éditoriale pour apprendre ça.

    Je note aussi cette phrase : « Je n’écris pas pour me faire de l’argent ou pour être célèbre, je n’écris pas parce je romantise le statut d’écrivain, non, j’écris parce c’est ce qui me donne de la joie.  » Tout est dit.
    Et je suis sûre que c’est pour cette raison que ton roman (que je lis en ce moment même), me touche. On sent l’intention et la passion entre tes lignes.

    Belle continuation à toi, la patience et la confiance ont eu raison des aléas divers. C’est merveilleux !

    • Répondre Marjoliemaman 4 mai 2021 à 13:14

      Avoir écrit 11 livres avant est un vrai avantage pour ne pas romantiser cette situation, c’est certains ! Merci à toi pour ton beau message.

      • Répondre Soazig 5 mai 2021 à 08:47

        Tellement dingue cette aventure ! Du suspense avant même de lire ton roman . Ce que je retiens surtout c’est cet énorme travail sur toi que tu as fais qui t’as mené ici et maintenant. Bravo ! Je me note de pré-commander ton livre sans tarder

        • Répondre Marjoliemaman 10 mai 2021 à 09:34

          Merci Soazig, effectivement, ça a été un gros boulot et ça continue d’ailleurs.

  7. Répondre Djahann 4 mai 2021 à 12:04

    Un beau chemin…. quand tout finit par s’aligner ! J’ai hâte de le lire, maintenant !

  8. Répondre Clarisse 4 mai 2021 à 12:10

    Tout cela donne bien envie ! Envie de lire, envie de s’écouter davantage, envie de faire ce que lon aime ! Et quand on le « sent  » il n’y a pas de mystère, c’est que c’est la bonne voie !

    • Répondre Marjoliemaman 4 mai 2021 à 13:15

      Oui, écouter sa petite voix pour aller sur la bonne voie ! Merci.

  9. Répondre Picou 4 mai 2021 à 12:15

    Et me voilà presque la larme aux yeux de voir comment tout s’est harmonisé… et de voir ce commentaire que je me rappelais t’avoir laissé sur l’article dont tu parles en lien. Rien n’était décousu, tout était recousu. Longue vie à ta plume et à ta sérénité. Je file, j’ai une nouvelle lecture à terminer, l’histoire d’un Guillaume et d’une Diane…
    (Petite divagation au passage : ‘Guillaume’ comme ‘Diane’ peuvent se rapprocher à ‘Tell’. ‘Tell’… raconter, en anglais… ils n’attendaient que d’être contés ;o)!)

    • Répondre Marjoliemaman 4 mai 2021 à 13:17

      Moi aussi, je pourrais t’écrire le même commentaire. Merci. Et merci pour le « tell », je ne l’avais pas vu ainsi !
      Bonne lecture et bises.

  10. Répondre Nelly 4 mai 2021 à 12:17

    Trop, trop hâte de te lire !
    (Dommage qu’il n’y ait pas de muffins avec le livre )

  11. Répondre Aurore-pipola 4 mai 2021 à 12:30

    Je me souviens de Virginie Grimaldi avant la publication de son premier roman et de ses doutes comme toi aujourd’hui. Je te souhaite le même succès ! Mais je ne vois pas comment nous il pourrait en être autrement 🙂
    J’ai hâte de lire ta fiction, moi qui aime toujours autant te lire sur le réel depuis plus de 10 ans ( un des premiers blogs que j’ai lu et maintenant le seul que je lis encore sans faute!)

  12. Répondre Doublerose 4 mai 2021 à 13:55

    Je ne blogue plus mais je te lis toujours (et te suis sous mon vrai nom sur les réseaux). Hâte de découvrir ces personnages.
    Quand on se rencontre, on sait

  13. Répondre CéciliAcidulée 4 mai 2021 à 14:04

    Je viens à l’instant de raccrocher j’étais au tél avec ma libraire ;-). Rdv le 19 mai pour récupérer ton roman (et le dévorer assurément !).
    Des bises Marjo !

  14. Répondre MamaCami 4 mai 2021 à 14:25

    J’ai vraiment hâte de le découvrir !

  15. Répondre ODILE MINOUX 4 mai 2021 à 16:59

    il faut toujours croire c’est important et ne jamais douter
    on a hâte de lire le résultat

    • Répondre Marjoliemaman 10 mai 2021 à 09:40

      La doute a pourtant été un ami utile mais il ne faut pas le laisser nous dévorer.

  16. Répondre Béné 4 mai 2021 à 17:24

    Un seul mot: waouh!

  17. Répondre petitsruisseauxgrandesrivieres 4 mai 2021 à 20:54

    Quel parcours magnifique. Cela a du te demander tant de ténacité, je suis admirative ! et pourtant ce temps était surement nécessaire à la gestation de ton livre. Je retiens le coup du montage, c’est très intéressant comme manière de concevoir l’écriture ! Félicitations, je me le note pour le lire très vite 🙂

    • Répondre Marjoliemaman 10 mai 2021 à 09:40

      Oui, c’était sûrement nécessaire et je suis heureuse avec le recul que ça ait été un petit « chemin de croix ».

  18. Répondre Valérie 4 mai 2021 à 22:07

    Quand j’ai lu la 4eme de couverture, je me suis dit que c’était pas du tout mon style mais que c’était quand même une évidence que j’allais l’acheter (et le lire) 🙂
    J’aime tellement les mots de ce blog, le seul que je lis assidûment, qu’il ne pourrait en être autrement.

    J’ai relu le billet sur la colère en vous et je me suis dit que j’avais un peu la même et qu’à 40 ans, il faudrait que j’entame un chemin un peu similaire au vôtre mais je ne m’en sens pas la force…

    En tout cas, félicitations pour tout ça ! Hâte de l’avoir entre les mains ce livre

    • Répondre Marjoliemaman 10 mai 2021 à 09:39

      Travailler sur soi n’est pas forcément douloureux. ça peut être un chemin difficile mais pas forcément non plus. Mais tu as raison, à chacun de sentir quand c’est le moment.
      Merci pour l’envie de me lire qui me touche beaucoup.

  19. Répondre Odile 5 mai 2021 à 06:53

    Merci de partager le parcours de votre livre, il ne faut jamais baisser les bras, la preuve encore une fois.
    Je vais le faire découvrir à mes lecteurs, je suis bénévole dans une bibliothèque.
    Bonne journée

    • Répondre Marjoliemaman 10 mai 2021 à 09:37

      Merci de la proposer à la bibliothèque ! Pour le « ne jamais baisser les bras », je crois que ça dépend vraiment de ce que nous dit la petite voix en nous. Parfois on s’accroche à des choses qui ne nous rendent pas heureux et les abandonner est un beau cadeau à se faire.

  20. Répondre Isa-monblogdemaman 5 mai 2021 à 07:24

    Une histoire si romanesque ne pouvait connaître plus jolie fin. Bravo à toi Marjo. Pressée et émue de rentrer dans ta tête de façon aussi intime !

    • Répondre Marjoliemaman 10 mai 2021 à 09:36

      Merci ma belle Isa, j’espère que le livre te plaira, je t’embrasse.

  21. Répondre Béatrice 5 mai 2021 à 07:28

    Bravo Marjolaine !!! <3
    Et merci pour ces deux billets qui me donnent un peu plus de courage pour lancer ma minuscule boutique de tricot en ligne (en plus des- quelques – commandes) et de m'inscrire comme autoentrepreneur (dehors l'imposteur). Je mets ton livre sur la liste de ceux que je veux lire !! (ma PAL augmente 😉 )
    Belle journée, bises !

    • Répondre Marjoliemaman 10 mai 2021 à 09:35

      Ah, les PAL qui montent vers le ciel, je connais ! Je te souhaite d’oser te lancer. Quelle que soit l’histoire derrière un lancement de société, c’est une aventure qui fait grandir.

  22. Répondre Maud 5 mai 2021 à 07:43

    Ton histoire est très inspirante Marjo ❤️
    Je te souhaite beaucoup de joie sur ce beau chemin que tu entreprends !

  23. Répondre Bénédicte 5 mai 2021 à 10:12

    C’est une histoire pleine de rebondissements mais avec un happy end. Trop hâte de le recevoir et de me plonger dedans !

  24. Répondre MissBrownie 5 mai 2021 à 14:18

    Bravo, tu peux être fière de toi Marjolaine 🙂
    Ta patience a été mise à rude épreuve mais il y a un happy end 🙂
    Je ne suis pas une assez grande lectrice et critique de romans pour avoir eu la chance de lire ton roman en avant 1ère alors moi aussi je patienterai 😀

    • Répondre Marjoliemaman 10 mai 2021 à 09:33

      Merci beaucoup Anabel ! J’espère que le livre te plaira. Bises.

  25. Répondre Docteur Mamangue 5 mai 2021 à 21:34

    Quelle histoire ! Encore félicitations et j’espère trouver le temps pour le lire tout bientôt ce roman.

    • Répondre Marjoliemaman 10 mai 2021 à 09:33

      Merci beaucoup, je sais à quel point c’est dur de trouver le temps de lire !

  26. Répondre Sophie 9 mai 2021 à 18:04

    Ah, je le mets sur ma liste d’anniversaire…. anniversaire qui est le 19 mai, c’est un signe! Ils rouvrent même les terrasses pour fêter çà!
    Merci pour ce récit, dans un domaine que je ne connais pas du tout…

    En revanche, sur cette certitude que les choses arrivent pour une raison et que l’intuition personnelle est magique, je connais et j’approuve absolument! Il y a quelques semaines, je partageais en commentaire sur ton blog un moment de découragement suite a ma perte d’emploi du fait du Covid. Et bien en quelques jours en avril, je me suis retrouvée en nego parallèles sur deux postes passionnants et j’ai eu le luxe de pouvoir choisir entre deux belles propositions 😀
    <3

    • Répondre Marjoliemaman 10 mai 2021 à 09:32

      Génial, tu vas pouvoir le lire en terrasse ! Je me souviens et je suis super heureuse de lire que la situation a si joliment tourné !

  27. Répondre Enirtourenef 16 mai 2021 à 10:11

    Je trouve ton parcours super inspirant et ça montre qu’il ne faut jamais se décourager ! Ça me donne encore plus la pêche pour préparer mes propres envois ! (Je lorgne sur Mnémos, j’avoue, mais en ce moment ils publient plutôt des intégrales ou réédition, ou alors leurs auteurs « maison » donc ça m’a l’air mal parti.)

    En tout cas, je souhaite bonne route à ton roman ! Et je pense que tu as parfaitement raison : le plus important c’est de se faire plaisir !

  28. Répondre Maman Voyage 3 octobre 2021 à 15:56

    Un beau parcours ! C’est clair qu’il faut être persévérant… moi j’en suis à des dizaines de « non » mais qui sait ? ;-)..; One day!
    Et surtout, je veux absolument lire ton roman ! Je n’ai juste pas réussi à passer des vacances en France cet été mais on devrait venir en octobre donc je ferai un tour en librairie !

    • Répondre Marjolaine 4 octobre 2021 à 15:14

      Merci Christine pour ce gentil message. Je te souhaite de tenir jusqu’à ton OUI. Bises.

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