Bretagne

Extraits de mon Breizh way of life

WBZH-chemin

Très souvent, on me demande si je me fais bien à la vie en Bretagne, si ma vie de Parisienne-banlieusarde ne me manque pas trop. Sans l’ombre d’une hésitation, je réponds : « Oui, je me suis très vite habituée à notre nouveau mode de vie et non, ma vie de parisienne ne me manque pas du tout ». Et j’ajoute souvent « Je ne reviendrai pas à Paris, même pour tout l’or du monde », ça fait très théâtral. Pourtant il n’y a rien de plus vrai.

Quand je vois mes amis parisiens, je leur raconte justement des petites bribes de vies, des petites choses du quotidien qui font que je n’envisage pas pour le moment habiter ailleurs. Extraits de mon Breizh way of life…

▲ Le matin, j’accompagne mes enfants à l’école à pied en empruntant un petit chemin tout vert bordé de murets de pierres (photo). C’est comme si je m’injectais chaque matin une dose de bonne humeur parce que même si le chemin est parfois boueux, il nous donne l’impression de partir faire l’école buissonnière.

▲ Avant le week-end, nous allions au Monoprix faire les courses pour bruncher. Désormais le samedi matin, quand c’est la saison, nous achetons des huîtres (des belons !) et des moules toutes fraîches à la gentille dame qui gare son camion au bout de notre rue. Et on se fait une orgie de frites et de pain noir au beurre salé. C’est souvent notre repas d’accueil pour les parisiens qui arrivent d’ailleurs !

▲ Quand le temps le permet, c’est bien souvent goûter à la plage et chasse aux coquillages. L’an passé, le sac avec les pelles et les seaux n’a pas quitté le coffre de la voiture familiale.

▲ Chaque fois que j’emprunte certaines routes, je suis estomaquée par les couleurs de la nature et les lumières du ciel breton. Je ne m’en lasse pas. Je me remplis de la beauté de la nature et cela m’apaise. Sans m’en rendre compte, je manquais d’horizon. Je suis certaine que cet environnement me permet d’économiser de nombreuses séances de yoga ou de psy !

▲ Tous les matins, je vais nourrir nos poules et je récupère leurs oeufs frais, encore tout chauds. Si vous saviez comme on se régale avec ces oeufs, surtout à la coque avec des mouillettes !

▲Au supermarché, on fait le plein de Malo Frais, de galettes fraîches cuites devant nous, de lait ribot…

▲ Quand je reviens de Paris et que je descends du train, je sens que l’air est plus frais, plus iodé… ça sent la mer et je crois que je suis accro à cette odeur.

▲ Le ciel breton est propice aux arcs-en-ciel et je sais désormais reconnaître le moment où ils apparaissent. Depuis que je vis ici, j’ai vu les plus beaux spécimens de ma vie. Des grands, des doubles aux couleurs intenses.

Bon, si l’on résume la breizh way of life selon moi, c’est beaucoup d’environnement naturel et de nourriture. Mais n’avons nous pas là les piliers  de tout bon vivant ? ^__^

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33 commentaires

  1. Répondre Gabrielle 30 avril 2014 à 07:33

    Ah tu me donnes envie avec tout ce que tu racontes.
    Surtout l’odeur d’air iodé. C’est ce qui me manque le plus quand je ne suis pas en Bretagne je pense.
    Et bon courage pour les 12 jours à venir ;).

  2. Répondre Sinnfael 30 avril 2014 à 08:44

    Je crois que la vie parisienne est vraiment à part et que partout ailleurs, en province quoi !, il y a la vraie vie !

    C’est ce que j’ai expérimenté pendant longtemps, après avoir quitté ma banlieue de naissance. Et tout comme toi, il faudrait me payer des millions pour revenir à Paris 😉 et encore …

    Depuis 2006 je suis arrivée dans une région que tu connais très bien : le Béarn. Et vois-tu, mes montagnes me sont très précieuses !! (Gollum sort de mon corps !!!) j’ai découvert un horizon et un mode de vie campagnard et forestier qui me plaît beaucoup … Et la mer, mon élément naturel n’est qu’à 45 minutes de route.

    Presque le bonheur 😉

  3. Répondre Kid Friendly 30 avril 2014 à 08:52

    C’est sûr que vu sous cet angle la question du « est-ce qu’on s’habitue » est caduque 😉
    Bonne journée
    PS : Monsieur Chéri approuverait le choix des belons (son fief d’origine)

  4. Répondre Céline 30 avril 2014 à 08:53

    La douceur de l’air quand je descends du train à la gare de Vannes après deux jours à Paris me surprend et me ravit à chaque fois… Je n’ai jamais vécu à Paris, mais à Toulouse et un an à Marseille, et quand on me demande quand est-ce que je redescend dans le Sud, je réponds invariablement : ce n’est pas prévu pour le moment, je suis trop bien ici !

  5. Répondre Marlène 30 avril 2014 à 09:03

    Bon sang que j’en rêve de cette Bretagne qui me fait de l’œil depuis si longtemps !!! Et ce n’est pas cet article qui va dévier mon idée [fixe !].
    Nous avons bien déménagé mais juste quitter la Normandie pour Orléans… Hum… (D’ailleurs pelles et seaux qui étaient toujours dans le coffre quand on vivait en Normandie…le sont toujours ! Mais bien au fond, derrière pleins de sacs de courses ; ils attendent patiemment !)
    Bonne journée, beaux arcs-en-ciel !

  6. Répondre Marine 30 avril 2014 à 09:04

    Je suis née à Paris, j’y ai passé presque toute ma vie et j’adore cette ville… mais de plus en plus à petite dose. J’ai déménagé en banlieue, les petits oiseaux chantent, c’est calme, j’adore. Et même à 5 minutes de Paris en RER, je me dis aussi que je n’ai plus du tout envie d’y habiter. Mais il manque encore l’horizon ! Prochaine étape ? 😉

  7. Répondre Marie Grain de Sel 30 avril 2014 à 09:04

    J’avoue que le chemin qui mène à l’école, ça bat tous les records !!!
    Moi comme toi, je me dis souvent qu’il n’y a pas de retour possible à Paris.
    Comme toi, les horizons élargis, les moules et les huitres, les enfants qui courent dans le jardin et respirent l’air iodé…
    Et le fait de tomber sur la mer par hasard, sans faire exprès, au détour d’une rue, ça, ça m’éclate complètement !

  8. Répondre mamandoudouce 30 avril 2014 à 09:28

    Je suis fan de la bretagne! Et ce petit chemin pour aller à l’école, quel bonheur!

  9. Répondre Maryline 30 avril 2014 à 09:46

    Bon je te laisse le lait ribot mais pour tout le reste je suis comme toi, j’ai eu droit à la même punition depuis 14ans que je vis en Bretagne je supporte ce suplice de belle nature et vie épanouie rohh la la ! 🙂 nous avons quitté le 95 et mon travail dans le 93 avec un temps fou de transport exprés pour ça justement, je ne voyais pas assez ma première Poucinette grandir et nous étouffions sous la polution et nous souhaitions agrandir notre famille mais je voulais une qualité de vie meilleure et nous l’avons trouvé en Bretagne, moi Normande pourtant mais je trouve la Bretagne plus épargnée que ma belle Normandie et comme toi on va à pied presque tout faire, sauf le travail faut je prenne la voiture mais tout le reste, les producteurs locaux, nos poules dans le jardin, les couleurs, la bonne odeur de terre…la vie, la vraie et oh que oui on s’épargne des heures de spy en tout genre ! Biz

  10. Répondre LudiM 30 avril 2014 à 09:56

    J’ajouterais juste une chose, la vie à Paris garde un côté positif: elle te fait ouvrir les yeux sur toutes ces merveilles du quotidien! Bretonne d’origine, j’ai toujours trouvé « normal » tout ce que tu décris. Beau, c’est sûr; exceptionnel, peut-être; mais normal. Après 1 an 1/2 à Paris, je vois les choses d’un autre œil. J’ai à la fois apprécié notre vie parisienne (sans enfants!) et notre retour aux sources. Et votre blog m’aide à l’apprécier encore plus au quotidien (même aujourd’hui où l’horizon est noyé dans le brouillard 😉 ).

  11. Répondre oph 30 avril 2014 à 10:18

    Ce chemin d’école fait rêver! beaucoup plus que le RER!
    Et puis, je trouve qu’on apprécie encore plus Paris, quand on y vit plus!

  12. Répondre Lovelykat 30 avril 2014 à 10:55

    ben moi j’habite ds le 78 et y’a des Malo, du beurre paysan breton et du lait ribot Bridel a mon supermarché du coin… 😉

    • Répondre LudiM 30 avril 2014 à 11:02

      Il est tenu par des bretons, c’est sûr!!! 😉

  13. Répondre marjoetcie 30 avril 2014 à 11:13

    je comprends exactement ce que tu décris, même depuis Nantes.
    Il m’a fallu un petit temps pour me faire à ce changement mais ça y est je suis entrée dans la période où je ne pourrai plus faire marche arrière.
    je repense souvent à ton installation bretonne et souris à l’idée de passer par les mêmes étapes: le poulailler et la cabane dans le jardin sont pour bientôt.
    et pour avoir pris tant de fois le paris-lorient, le parfum de la mer qui te prend aux narines à la descente du train est ma madeleine de proust.

  14. Répondre Amalia 30 avril 2014 à 11:34

    Je suis née en bretagne, j’ai vécu en bretagne jusqu’a mes 19 ans j’ai du partir, je l’ai pas super bien vécu. Depuis 2008 je suis revenue et la même si je suis a Rennes, ben je respire vraiment! J’aime ma bretagne!!!

  15. Répondre Bene 30 avril 2014 à 11:43

    J’adore le chemin pour aller à l’école (mais de ce côté là je ne peux pas me plaindre, je longe la mer pour aller au boulot), et les arcs-en-ciel (mais ça je l’ai déjà dit 😉 )! Il faut définitivement que j’aille un jour en Bretagne avec ma petite famille, c’est une région qui me faisait déjà de l’œil mais maintenant encore plus!
    Par contre je me considère très urbaine, et mes enfants aussi, un de leur premier mots c’était « autobus » et mon deuxième quand on est à la maison en réclame, il répète sans cesse « autobus » en levant les épaules comme pour dire comment c’est possible qu’il n’y en ait pas à la maison. J’ai toujours vécu dans des grandes ville, très animées et même si j’adore les vacances tranquilles dans des coins perdus, j’aime bien de retrouver l’animation des rues, l’anonymité, d’avoir tout sous la main sans besoin de voiture, etc…

  16. Répondre Bao 30 avril 2014 à 13:53

    Ca donne envie en effet… surtout pour le pain, les crêpes et le beurre salé 🙂

  17. Répondre Joëlle 30 avril 2014 à 14:25

    Magnifique … je donnerai très cher pour réussir à partir vivre en Bretagne, mais la réalité du travail est vraiment un trèèèès gros frein.
    En attendant, on y passera de belles vacances, en s’amusant à découvrir les belles adresses du site :D!!

  18. Répondre MamAnGaga 30 avril 2014 à 15:24

    Ca me parle tant !
    Bretonne, expatriee a New York, je devore ce blog qui me rappelle mon enfance, ma Bretagne. Ce blog, c’est ma piqure de rappel lorsque je manque d’iode et de tout ce que tu viens de decrire.
    J’adore Brooklyn, que je vis intensement. Mais le Finistere… Ahh, le Finistere, c’est ma base !

  19. Répondre Freya 30 avril 2014 à 16:42

    Je t’envie! J’aimerais tellement vivre dans un endroit comme cela! La Bretagne, j’en rêve!

  20. Répondre Julia 30 avril 2014 à 17:42

    Bonjour,
    oh, à la lecture de ce post, je chouine un peu. Je suis bretonne, 31 ans dans les Côtes d’Armor, et je déménage en Normandie bientôt! Je sais , c’est pas loin, c’est beau aussi ( mais pas autant!!) , mais ça me pince le cœur.

  21. Répondre Lisbei 30 avril 2014 à 18:47

    Ton petit chemin de l’école buissonnière me fait rêver, ce qui m’embête le plus dans ma campagne, c’est de devoir toujours prendre la voiture pour aller à l’école … on ne peut même pas y aller en vélo, la route principale est trop fréquentée et les gens roulent trop vite !
    Bises et merci pour ton partage !

  22. Répondre Louisa 30 avril 2014 à 19:11

    Ahhhh ce petit chemin-qui-sent-la-noisette … Il vaut tous les métros du monde ( rires)! C’ est fou comme cette région est magique, difficile d’ y résister. Pourtant, je suis provençale, vis dans les environs de Toulon, superbes plages et petits ports de pêche mais…mon pays ne sent rien ! Alors que par chez vous, la découverte est quotidienne, en 2012, j’ ai fait le tour de la Bretagne par la côte de St Malo à Vannes et plaisir des sens à tous les étages. Franchement c’ est la seule région autre que ma côte où je pourrais vivre, savourez votre Breizh way of life et continuez de nous régaler avec votre blog épatant ! Le bonjour du Sud !

  23. Répondre CB 30 avril 2014 à 19:51

    Ahlala vivement les vacances qu’on retourne dans le Finistère Nord!!!! Depuis la rencontre avec mon homme (il y a 11 ans!) j’ai tout adopté! Sa famille Bretonne, le beurre salé, les 15 jours minimum incompréssible dans la maison familiale en Finistère Nord en Aout et l’idée de mettre de côté pour s’acheter une maison à nous là-bas pour nos vieux jours… Malheureusement il n’y a pas de travail pour nous en Bretagne… sinon je crois que j’y serais déjà!

    Profitez bien de cette chance de vivre au vert et quel vert!
    Bises

  24. Répondre sun 30 avril 2014 à 21:25

    Je pense que la vie parisienne est quand celle que peu de gens connaissent et que du moment qu’on habite en province on peut vivre ce genre de petits bonheurs. Je me reconnais donc sur pleins de points, la différence étant la proximité de l’océan pour vous. différence que j’envie beaucoup. vivement cet été et Douarnenez !!!

  25. Répondre Soleil de Minuit 30 avril 2014 à 22:02

    Merci pour ce petit air iodé… Ici, on ne maque pas d’air mais il est un peu plus frais ; d’ailleurs, il a encore neigé ce matin sur les sommets qui entourent la maison.
    Et joli petit chemin qui embellit le matin.
    Bises.

  26. Répondre Sophie 30 avril 2014 à 22:26

    Cet air salin. Le bruit de la barre. La mer que l’on peut regarder de la place de la mairie le mardi. Le croissant à fondre de bonheur de Maelig. Cette plage au bout de la rue. Oh oui on est bien

  27. Répondre nathalie 1 mai 2014 à 00:16

    Ce chemin est juste magnifique mais en bonne citadine de grande ville (marseille) je dit brrrrr c’est assez coupe gorge en même temps ! on entend tellement d’horreur que je frissonne de bonheur et de trouille mdr

  28. Répondre vijulia 1 mai 2014 à 10:24

    Ah, la Bretagne, j’adore. C’est la région de naissance de ma grand mère, j’y ai passé plusieurs vacances d’été avec mes parents. Mon endroit préféré de France, la pointe du raz!! Les énormes vagues, l’odeur, la beauté du lieu, l’impression d’être seule au monde (sauf quand y a plein de touristes…), je pourrai y rester des heures assise sur un rocher à regarder le spectacle et à me vider la tête des tracas quotidiens!!
    Mais bon, ce n’est pas possible, j’habite à 800km de là dans un tout petit village perdu dans la campagne et j’adore également cet endroit: le calme, la nature, les prés, la foret… magique!!
    Pour rien au monde, je n’habiterai en ville. J’ai vécu 5 ans à Lyon pour mes études. Je reconnais que la ville à tout de même des points positifs mais tellement infimes par rapport à où je vis actuellement!!

    Bonne journée

  29. Répondre Silène 1 mai 2014 à 13:14

    Comme je te comprends ! Sur ce coup là j’ai le même parcours, mais à l’inverse exacte ! (si si, c’est possible). Je suis aussi partie d’une ville, mais du sud, très polluée néanmoins et je suis arrivée dans la campagne, loin, loin de la mer, mais tellement belle avec ses montagnes et sa nature !

    C’est L’Auvergne que j’ai dans la peau. Je suis née auvergnate, mais à trois ans on est obligé de suivre ses parents et je suis partie. J’ai attendu mes trente ans, l’homme de ma vie et des poumons en lambeaux pour y revenir et chaque matin je m’émerveille d’ouvrir les volets sur le silence.
    Je pourrai parler des heures des verts qui émaillent le paysage, du bleu profond du ciel, du rouge des coquelicots au printemps et du roux des feuilles en automne. Je pourrai parler du gout des fraises, cueillies directement de la terre (elles sont si bonnes qu’on dirait qu’elle poussent avec la chantilly incorporée) et de l’odeur de l’été.
    Je dirai simplement que, sans pollution, mes poumons ont guéris. Quand je vais en ville, je détecte la puanteur urbaine dans les dix premières minutes (oh ! des hydrocarbures…) et dans les 24 heures l’asthme rapplique au galop. Mes cheveux ne supportent plus l’eau calcaire (en Auvergne la bouilloire qu’on utilise a sa résistance niquelle, sans être jamais nettoyée. )
    Il m’est arrivé à plusieurs reprises d’oublier de fermer à clé ma voiture, pour faire des courses de 5 minutes, sous le regard effaré de ma mère (dans notre campagne les gens laissent même le moteur tourner quand ils vont chercher le pain et les portes sont bien souvent entrouvertes dans la journée)

    Alors comme toi je n’ai pas l’ombre d’un regret d’être partie, je le referai sans l’ombre d’une hésitation. Je dirai même que je n’arrive pas à envisager, aujourd’hui, l’idée de repartir vivre un jour en ville.
    Une chose me manque néanmoins. Les pizzerias qui livrent à domicile. Je dois faire 7 km pour aller chercher ma pizza quand j’en veux une (le drame :D)

    Bon allez, je vous laisse, mon homme fait un barbecue avec les truites qu’il a pêchées (si si ! et si j’étais vicieuse je vous dirai même que je vais installer le hamac sous le tilleul cet aprem, pour bouquiner tranquillement.)

  30. Répondre Lily's Little Factory 6 mai 2014 à 14:56

    C’est tellement bien ici que des fois on voudrait être égoïste et se garder tout ça rien que pour nous… 😉 Mais on ça dure juste quelques minutes et puis on bombe le torse et on se dit : « je suis fier, c’est chez moi ! Faut que les autres en profite un peu … » 😀
    Moi mes petits plaisirs (enfin, j’ai jamais habitée ailleurs qu’en Bretagne) : prendre le bateau pour aller en réunion de boulo, faire la queue à l’unique commerce de St Armel pour acheter du Gochtial, ramasser des palourdes sur la plage et les partager avec des potes autour d’un verre de blanc et les accompagner de pain /beurre…
    Merci pour ce joli article raffraichissant !

  31. Répondre Sempéa 24 mai 2014 à 11:06

    Oh oui les jolies couleurs de la Bretagne, j’adore, au moins autant que ma Normandie natale.

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