Billet sponsorisé, La prématurité

La plus petite couche du monde

Billet réalisé en partenariat avec Pampers

La prématurité, vous le savez, c’est un sujet qui me touche énormément. Notre Fleur de Sel est née à 34SA+1, avec 7 semaines d’avance. Elle a passé un mois en néonat, est sortie cinq semaines puis a de nouveau été hospitalisée un mois en pneumo et en réa pédiatrique pour des pathologies conséquentes de sa prématurité.

La prématurité reste un sujet très très délicat pour moi. Je travaille sur moi pour n’en faire plus qu’un souvenir lointain et pas une plaie béante qui me brûle dès que l’on aborde le sujet. Et vous savez quoi, je progresse, mais ça n’est pas le sujet du jour.

Aujourd’hui, je veux vous parler de la plus petite couche du monde que j’ai découverte la semaine passée à l’invitation de SOS Préma et Pampers. Lors de cette réunion, j’ai eu le plaisir de rencontrer et de discuter avec les équipes de Pampers et de SOS Préma représentée par sa fondatrice et directrice Charlotte Bouvard et par Emilie, maman de préma qui est infirmière en néonat et également bénévole de l’association. Ça m’a énormément touchée de rencontrer Charlotte Bouvard car, de notre séjour en néonat, je garde toujours cette trousse SOS Préma offerte à notre arrivée. On a beau être entourés dans ces moment-là, on se sent extrêmement seuls et cette trousse remplie de bienveillance et de bons conseils, elle nous avait fait un bien fou.

Mais revenons-en à cette toute petite couche. Je l’avais reçue par la poste quelques jours avant la présentation officielle organisée à Paris. Cette couche, elle m’a collé les larmes aux yeux car elle m’a renvoyée l’image de ces minuscules bébés que je voyais derrière les vitres de la réa néonat. On ne peut pas imaginer à quel point ces bébés sont petits si on ne les a pas vus, je vous l’assure. C’est une image que je garde très nettement tant elle est marquante et qui me donne encore la chair de poule.

Cette époque, elle me ramène à tant de choses : à Fleur de Sel dans sa couveuse qui flotte dans son body naissance avec sa couche trop grande, aux bruits de la néonat et de la réa, aux quelques gestes que l’on peut faire pour s’occuper de son bébé né en avance : prendre sa température et changer sa couche…  Et ma Fleur de Sel n’était descendue qu’à 1,7 kilos, vous imaginez un peu ce qu’il en et pour les bébés nés à 25 semaines ou à 500 grammes ?Pampers a développé une couche spécialement pour ces touts-petits bébés de moins de 800 grammes afin qu’elle soit intégrée dans les soins de développement qui permettent un meilleur développement des prématurés et qui réduit la durée de leur hospitalisation.

Ces soins de développement placent la famille au coeur du soin. Il y a par exemple l’installation du bébé dans une position physiologique où il peut se regrouper comme s’il était dans l’utérus, la modulation des bruits et des lumières pour ne pas l’agresser, les soins individuels réalisés par les parents, etc.

Je l’ai écrit juste avant, le changement de couche est l’une des rares choses que l’on peut faire en temps que parents à certains moments. Pampers a créé donc créé cette couche  après 3 ans de recherche de ses équipes scientifiques (10 000 heures de travail) et de travail main dans la main avec les infirmières, les médecins et les associations de soutien aux prématurés pour pour offrir une couche adaptée aux très grands prématurés.

Élaborée main dans la main avec SOS Préma, elle possède de nombreuses qualités adaptés à la prématurité et à l’hospitalisation. Elle permet de respecter au maximum le rythme du bébé préma en évitant de le déranger lors des soins. Elle est taillée pour laisser la plus grande partie du corps disponible pour le peau à peau (tellement important), elle laisse le cordon dégagé pour les soins, elle possède un matelas étroit pour s’adapter à la position physiologique des prémas, elle n’a pas d’avant et d’arrière ce qui fait qu’on peut changer un bébé qui dort allongé sur le ventre, ses attaches sont très grandes pour s’ajuster avec les fils et les sondes inhérentes à l’hospitalisation, elle est fabriquée dans un matériel doux qui respecte la peau fragile des prématurés et ses scratches font le moins de bruits possible pour ne pas stresser les bébés.

Vous pouvez découvrir la couche dans CE SPOT. Je vous préviens, j’ai pleuré comme une madeleine en le voyant parce qu’en tant que maman de préma, ça m’a vraiment remise « dans le bain » mais sachez-le, c’est comme ça, vraiment.

Cette couche est disponible dès maintenant dans les maternités avec également deux nouvelles grandes soeurs : la couche pour les bébés de -1,8 kilos et la couche pour les bébés de -2,3 kilos.

Lors de notre rencontre pour le lancement de cette couche, Charlotte Bouvard nous a expliqué que SOS Préma (qui compte 7 salariés, 70 antennes, une ligne d’écoute 24h/24 et qui a déjà aidé 600 000 familles !) ne reçoit AUCUNE aide de l’Etat. L’association fonctionne à 70% grâce à ses partenaires forts, dont Pampers depuis 12 ans.

Avec la création de cette plus petite couche du monde, Pampers s’engage un peu plus et offre la totalité des bénéfices de la vente de cette couche à SOS Préma et à Prem Up (pour qui je collectais il y a quelques années lors de la Marche des Bébés).

Personnellement, depuis cette rencontre, je cogite énormément. J’ai voulu mettre la prématurité à distance parce que c’était douloureux, parce que je ne voulais pas que ça me définisse et que je ne voulais plus y penser. Je crois que presque 8 ans après, c’est mon rôle de tendre la main aux parents qui vivent la prématurité. Alors je réfléchis à la façon dont je peux le faire et je ne manquerai pas de vous le faire savoir.

Retrouvez d’autres informations sur le sujet sur les réseaux sociaux grâce au hashtag : #LaPlusPetiteCoucheDuMonde

Merci à SOS Préma et à Pampers pour cette rencontre passionnante et pleine d’émotions.

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45 commentaires

  1. Répondre Marjorie 3 octobre 2017 à 09:54

    C’est vraiment top cette couche ! Je me souviens encore de mes fistons qui flottaient dans leurs couches beaucoup trop grandes et pas du tout pratiques à leur mettre (28SA et 30sa+5).
    L’idée de m’engager au côté de SOS prema murit doucement dans ma tête, j’ai vraiment envie d’aider les parents maintenant que mes enfants sont plus grands (6 et 3 ans)

    • Répondre Marjoliemaman 3 octobre 2017 à 12:26

      Je crois qu’il faut effectivement digérer la chose pour pouvoir être utile avec toutes ses capacités.

  2. Répondre Claire 3 octobre 2017 à 10:17

    Merci pour cet article. Pour moi qui n’ai pas connu la prématurité, il me permet de découvrir ces situations et les difficultés qu’elles amènent.

  3. Répondre jessica 3 octobre 2017 à 10:18

    Coucou! Je me rappelle mon Loulou 2 petits kilos de bonheur, un préma né 3 semaines avant terme, un bébé si petit, mon amour pour lequel je me suis battu car j’aurais pu mourir d’un syndrôme et c’est lui qui m’a donné envie de me battre chaque jour. La prématurité lui permet au quotidien d’être un petit garçon très fort, jamais malade, qui a une force incroyable! J’en suis fière de mon Loulou et même si ce moment de ma vie est toujorus très difficile à vivre meme si j’y travaille constamment, je suis fière d’en etre là ou j’en suis. A très bientot Marjorie

    • Répondre Marjoliemaman 3 octobre 2017 à 12:31

      Ton fils est effectivement de tout petit gabarit mais on ne parle pas de prématurité s’il est né 3 semaines avant. Et malheureusement, la prématurité entraîne bien souvent une fragilité aux virus et maladie au moins les deux premières années.

  4. Répondre Joëlle 3 octobre 2017 à 10:40

    Tu m’as filé la chiale et j’ai pas encore regardé le spot … tu sais à quel point ça me touche après un grand préma né 10 semaines trop tôt (1,4 kg) et une petite préma né à 35sa+5.
    A l’époque j’avais contacté SOS préma et j’avais pu échanger avec d’autres parents, ça m’avait fait du bien. Et tout comme toi après avoir essayer d’enfouir un peu ces souvenirs douloureux, ces émotions et cette « blessure » qui refont refont surface.
    Et en dehors du fait que j’ai pris rdv avec une psy pour dépatouiller tout ça avec mon grand, je ressent le besoin de faire quelque chose également.
    Je fais des dons tous les ans mais ce n’est pas assez concret pour moi. Et à la naissance de Juliette j’avais contacté le lactarium proche de chez moi mais ils m’avaient dit qu’ils n’avaient pas besoin…

    Je serais ravie de me joindre à toi si tu acceptes, si c’est possible dans ton projet. N’hésite pas à me contacter, j’ai besoin de faire quelque chose et me rendre utile.

    je t’embrasse

    • Répondre Marjoliemaman 3 octobre 2017 à 12:32

      J’ai pensé à toi et à d’autres lectrices, évidemment, en écrivant ce billet.
      Promis, je te fais signe.

  5. Répondre Charlotte 3 octobre 2017 à 11:02

    Ce sujet me parle énormément. j’ai réalisé mon mémoire de fin d’études d’infirmière sur le partenariat soignant/parents d’un bébé prématuré. En quoi les soignants peuvent ils permettre que les parents se sentent parents de leur bébé. Vaste sujet où en France on baltutie, là où au Canada ils incluent les parents systématiquement.

    • Répondre Marjoliemaman 3 octobre 2017 à 12:33

      Oui, on a du retard mais les choses avancent en France. SOS Préma propose notamment des formations aux soignants pour aller dans ce sens.

  6. Répondre marie 3 octobre 2017 à 11:11

    Merci Marjolaine de partager ces infos, d’en parler de faire avancer les choses. Je suis moi-même maman d’un bel enfant né grand préma 27+2, la prématurité c’est dûr c’est sûr. Moi- même née à 27sa aussi 😉 Mais dès que la chiale arrive j’essaie de me reprendre en pensant aux parents qui ont perdu leurs p’tits bouts(comme ma maman par exemple) pour m’aider moi même mais c’est pas évident même après 9ans. Mon fils garde des problèmes mais il est là c’est tout ce qui compte. Pour ma part je n’ai jamais osé contacter la psychologue de sos préma une fois rentrée à la maison pensant qu’il y avait plus urgent sur le moment, je voulais laisser la place. Je pense que ce sera toujours là, je pense que le temps aide à apaiser mais qu’il faut beaucoup de temps égal au thraumatisme perçu..
    Merci et bonne continuation ;°)

    • Répondre Marjoliemaman 3 octobre 2017 à 12:35

      Tu sais Marie, je pense qu’il n’est jamais trop tard pour alléger ses valises. ça permet de garder le souvenir des choses sans en souffrir et ça permet de pouvoir être dans l’action et plus seulement dans la souffrance.
      Et les douleurs ne se comparent pas. Ce n’est pas parce que certains perdent leur bébé que ta douleur n’est pas forte et recevable.
      je t’embrasse.

  7. Répondre Morgane 3 octobre 2017 à 12:18

    J’ai fait mon mémoire de fin d’étude sur le confort des prémas, l’importance de l’installation, du peau à peau et sur la recherche de la diminution des sur-stimulations sensorielles. C’est chouette de voir que des gens s’engagent pour le confort de ces touts-petits.
    Mes 3 loulous sont arrivés avec un tout petit peu d’avance mais seul numéro 1 était un petit gabarit, et c’est vrai que cette difficulté lors des changes est important. Limiter la douleur des manipulations intempestives et réfléchir au bruits des scratch je trouve ça top ! Bravo !

    • Répondre Marjoliemaman 3 octobre 2017 à 12:46

      Chaque petit geste pour aller dans ce sens a tellement de conséquences…

  8. Répondre Mamine 3 octobre 2017 à 12:52

    Je suis une maman de 3 enfants nés à terme et j’étais très émue devant ce spot. Je n’imagine même pas ce que les parents ont pu ressentir. Je trouve la démarche de cette marque très intéressante. Ils ont pensé à des trucs que je ne pouvais pas imaginer, notamment la couche qu’on peut mettre quelle que soit la position du bébé.
    Merci de nous faire partager cette belle initiative.

    • Répondre Marjoliemaman 3 octobre 2017 à 13:22

      même moi en tant que maman de préma, je n’y avais jamais songé !

  9. Répondre Grace 3 octobre 2017 à 14:00

    Ce post me touche tout particulièrement étant maman de grande préma née à 27sa + 6. Je suis un peu comme toi, j’essaye de ne plus y penser surtout que ma fille a deux ans aujourd’hui et qu’elle est en pleine forme, et j’ai conscience que c’est une chance! J’ai choisi d’oublier pour elle qui est si forte, toujours joyeuse! En la voyant c’est même difficile d’imaginer qu’elle a passé 4 mois en réa néonat. Donc je me dois d’être forte comme elle. Forte aussi comme mon fils ainé qui n’a pas vraiment conscience que sa sœur était différente à sa naissance.
    Mais je sais au fond que je n’ai toujours pas digéré cette période et que je me sens encore coupable.
    bref, très bonne initiative de Pampers et merci de penser parfois aux prémas.

    • Répondre Marjoliemaman 4 octobre 2017 à 14:31

      Il n’est jamais trop tard pour travailler sur soi pour alléger la peine. Parfois, être forte c’est savoir demander de l’aide. Je t’embrasse.

  10. Répondre Livteapaper 3 octobre 2017 à 18:43

    Enceinte de 12 semaines je ne vais pas regarder le spot hein, ton article m’a déjà bien fait chouiner ^^ mais je trouve ça beau que des gens s’engage pour ces touts petits bouchons et leurs parents, que se soit dans une association, en créant cette mini couche ou en écrivant 😉
    Des bisous

    • Répondre Marjoliemaman 4 octobre 2017 à 14:39

      Tu as raison, pas la peine de regarder maintenant ! Au passage : toutes mes félicitations !!!

      • Répondre Livteapaper 19 janvier 2018 à 20:37

        Je vois seulement ta reponse ^^ merci pour les félicitations 🙂

  11. Répondre Morgane 3 octobre 2017 à 20:39

    Un bel article… Qui je pense touchera tout le monde, même ceux qui ne sont pas concernés de près, comme moi… Mais ma Maman crochète depuis quelques temps des petites pieuvres, à destination aussi des prématurés. Un joli projet pour aider ces petits bouts nés trop tôt…

  12. Répondre doizy clémence 3 octobre 2017 à 21:16

    Avec tes mots, j’ai l’impression de revenir bientôt 7 ans en arrière. Ma fille est née à 30SA, elle faisait 1kg à cause d’une preeclampsie sévère. J’ai pu la voir que 48h plus tard et elle pesait plus que 800g. Je me souviendrai toute ma vie de cette première rencontre. Ce n’était pas le bébé que j’idealisais (jouflu et criard) non j’avais en face de moi un petit bébé tout fin et tout poilu. Je me souviens m’être dit OK je vais t’aimer ça me paraît un peu compliqué la tout de suite, mais ça va se faire. Et autant te dire que ça c’est vite fait. Elle est restée 2,5 mois en réa puis neonat puis pédiatrie avec des hauts et des bas. Une vie entre parenthèse pour nous et pour elle à pas de poser de questions juste continuer. Je ne sais pas si on a eu de la chance ou si ma.fille est une battante (le pédiatre m’a toujours dit que les bébés preeclampsie étaient des champions). Mais elle a tout fait en âge réel. Elle a 6,5 ans et croque la vie à pleines dents à sourire et à rire tout le temps comme si elle avait compris la valeur de la vie. Alors oui elle fait de l’asthme oui elle a des soucis liés à son estomac mais rien de très gênant au quotidien. Cette épreuve m’a aussi apporté humainement et j’ai beaucoup appris sur moi. Je n’en garde pas que des mauvais souvenirs. J’ai juste du mal quand on dit « ouah tu as trop de chance ta fille est née le 31/12 » ce à quoi je ne réponds plus que c’était prévu pour mi mars, que je n’ai pas pu voir la voir et que nous étions toutes les deux entre parenthèses…

    Oulala j’ai beaucoup écrit. Mais juste pour dire que je veux bien apporter ma maigre contribution à ton projet si tu le souhaites bien évidement.

    • Répondre Marjoliemaman 4 octobre 2017 à 14:42

      Je le note, je ne sais pas encore comment je vais faire mais promis, j’en parlerai sur le blog.

  13. Répondre Elise Connors 4 octobre 2017 à 01:55

    J’ai un petit patient de 4 ans qui est né à 22 semaines d’aménorrhée ; il a porté des couches similaires… Je le suis en orthophonie et je n’ai pas pu m’empêcher de verser ma larme quand sa maman me l’a montrée. C’est encore plus impressionnant en vrai qu’en photo. nb: le petit loulou a quelques difficultés pour apprendre à parler mais il se porte comme un charme malgré passé d’extrême prématuré!

    • Répondre Marjoliemaman 4 octobre 2017 à 14:43

      22 SA, waouh, je crois que je n’ai jamais entendu un terme aussi bas…

  14. Répondre doublerose 4 octobre 2017 à 05:44

    Je me souviens de mon neveu. J’avais accompagné sa mère pour le voir (en fauteuil après une césarienne, elle ne pouvait pas y aller seule) et elle avait changé sa couche. 1.2kg. C’était rentrée chez moi flageolante. C’est si petit. Et comme à ce poids là, il n’y a pas de graisse, il n’y a pas de fesse. J’en étais retournée.
    Bonne idée de pampers que ces couches à la « bonne taille » pour les préma. J’espère juste qu’ils ont pensé à retirer tous les produits pas top top qu’ils mettent dans les couches !

    • Répondre Marjoliemaman 4 octobre 2017 à 14:44

      Oui c’est vrai, même à 7 mois de grossesse, ma fleur de Sel n’avait pas de gras… c’est frappant…

  15. Répondre Julia 4 octobre 2017 à 05:47

    Mon premier enfant, bientôt 6 ans, est né à 29 sa, 2 mois d’hospitalisation pour démarrer sa vie. Je me souviens encore très bien de lui changer ses couches bien trop grandes en passant les mains par les portes de sa couveuses.
    On parle beaucoup de la prise en charge à la naissance et c’est très bien. Mais mon combat serait plutôt de s’occuper des conséquences, encore des années après, de cette naissance bien trop tôt. Je trouve qu’il y a un vrai manque, notamment à l’école.

    • Répondre Marjoliemaman 4 octobre 2017 à 14:30

      C’est vrai qu’après les CAMSP, le suivi semble aléatoire. Un peu comme pour l’autisme, c’est aux parents de bouger des montagnes…

  16. Répondre Ysaline 4 octobre 2017 à 08:59

    Bravo pour votre engagement auprès des prématurés et de leurs familles. J’admire…

    • Répondre Marjoliemaman 4 octobre 2017 à 14:27

      Mon engagement ne se résume pas à grand chose pour le moment, voilà pourquoi je réfléchis…

  17. Répondre Poulette Dodue 4 octobre 2017 à 09:08

    La classe à Dallas cette couche (et les autres pour les petits gabarits)
    BRAVO à ceux qui sont derrière les familles

    • Répondre Marjoliemaman 4 octobre 2017 à 14:27

      Le soutien aux familles est tellement laissé à l’abandon par les pouvoirs publics.

  18. Répondre Fleur de Lupin 4 octobre 2017 à 10:58

    Bonjour, j’espère que Pampers a fait l’effort de limiter les substances toxiques que l’on trouve désormais dans de nombreuses couches pour bébé surtout pour un public aussi fragile.

  19. Répondre Estelle 4 octobre 2017 à 12:46

    Le spot est émouvant et c’est une chouette initiative de la part de pampers. Dommage que la composition de leurs couches : polypropylène, colorant, dérivés de pétrole ect… (toxique et cancérigène) ne soit pas aussi clean. « Matériel doux qui respecte la peau des enfants » pardon mais je tique un peu sur ce point. Sans compter les déchets. Des composants écolos (et/ou pourquoi pas une matière lavable) pour accompagner ces tous petits bébés aurait été plus judicieux non? Bonne journée. Estelle

    • Répondre Marjoliemaman 4 octobre 2017 à 14:26

      Sur les déchets, Pampers travaille actuellement dessus mais ça prend du temps. l’équipe France espère pouvoir faire des annonces sur le sujet l’an prochain. Concernant les lavables, c’est effectivement une jolie idée (ma dernière était en lavables) mais absolument pas réalisable dans un service de néonat, de soins intensifs ou de réa (que fréquentent les prémas). Une fois à la maison, pourquoi pas.

      • Répondre Estelle 4 octobre 2017 à 14:54

        Merci d’avoir pris le temps de répondre à mon commentaire Marjolaine. Je peux effectivement imaginer la problématique des lavables en milieu hospitalier. J’espère quand même qu’ils feront un effort sur la composition en général. Si des « petites enseignes » (tidoo, moltex, love&green) arrivent à fabriquer des couches efficaces, sans chlore, sans parafine, sans petrolatum, sans… avec des emballages biodégradables, j’imagine que le leader de la couche devrait pouvoir y arriver aussi ;))

        • Répondre Fleur de Lupin 5 octobre 2017 à 11:51

          je plussoie ….

  20. Répondre sabine 4 octobre 2017 à 15:16

    Maman d’un petit garçon né à 34SA+5 mais avec un tout petit poids de 1.8 kg pour ce terme, je me retrouve très bien dans les problèmes de couches! Il était dans un service de pédiatrie niveau 2 (donc les prémas de 32 SA minimum) qui n’avait que des couches micro mais pas plus petit. Elles ont beau être déjà petites mon fils avec ses mini fesses flottait largement dedans! On était obligé de les replier… Aujourd’hui il a deux mois, nous sommes passés aux couches taille 1 mais nous sommes obligés de les replier également.

    Je ne savais pas que pampers était partenaire de SOS préma. C’est bien mais il faudrait qu’ils travaillent sur les tarifs car à 10 € le paquet de couches micro c’est un sacré budget!

    Merci pour cet article en tout cas!

    • Répondre Leymia 5 octobre 2017 à 19:56

      Sur les sites de para on les trouve à 5 euros ! (Et 20 euros dans ma pharmacie …)

      sinon ce post et tous les commentaires me font vraiment réaliser à quel point on a eu de la chance avec notre crevette née à 33 Sa, qui faisait 1,9 kg et est sortie de neonat 25 jours plus tard, sans aucun problème de santé depuis (10 mois), à peine un rhume !
      Et pourtant je garde un très mauvais souvenir de ce séjour en neonat ! La limitation des stimulis, dans mon petit hôpital, ils n’ont pas l’air de connaître. Même moi, qui avait la ‘chance’ de dormir dans la chambre juste à côté d’elle, j’étais stressée.

  21. Répondre LuciledeGuinzan 6 octobre 2017 à 11:31

    Oui j’ai tout de suite pensé que ça avait dû être terriblement dur de se replonger dans tout ça. Sans doute que tendre la main aux autres est une façon de réussir à trouver une sérénité sur ce sujet. En tout cas je ne peux que dire bravo Pampers, qui remonte un peu dans mon estime, et bien sûr Charlotte Bouvard.

  22. Répondre Diane Beauvais 16 octobre 2017 à 23:22

    On peut dire que toutes les mamans et les futures mamans seront toujours confrontées à cette inquiétude due à la naissance prématurée. Cependant, il est plus rassurant de savoir qu’il y a de plus en plus de mesures pour accompagner les parents à affronter cette épreuve. Cette toute petite couche est la preuve que certains fabricants d’accessoires pour bébé ne pensent pas qu’à leur profit. Un grand bravo pour Pampers et à tous ceux qui ont contribué à la réalisation de ce projet plus qu’émouvant.

  23. Répondre Alex 11 novembre 2017 à 13:50

    Excellent !!! ça doit etre tellement pratique 🙂 La prématurité un moment difficile certes mais la maman doit être courageuse, forte et elle doit avancer.. Merci Marjorie pour ton aide et ce partage, ce que tu dis doit parler à plusieurs familles A Bientôt

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